la pédagogie expérientielle

Mon premier contact avec la pédagogie expérientielle remonte à l'automne 2013, alors que mon ainé commençait la maternelle au Volet alternatif de l'école Charles-Lemoyne (CSDM). Le projet de cette école était alors basé sur l'ÉRE et la pédagogie expérientielle. J'ai eu le bonheur de côtoyer des spécialistes de l'ÉRE, soit Carole Marcoux: conseillère pédagogique en ÉRE à la CSDM, Marion Dulude spécialiste en forest school diplômée à la maitrise en Éducation relative à l'environnement, Lucie Sauvé professeure en ERE et chercheure au Cent'ERE à l'UQAM, le professeur en ERE et chercheur au Centr'ERE à l'UQAM Thomas Berryman .

 

Pourquoi l'ERE et la pédagogie expérientielle?

Parce qu'elle est la base de l'ERE. C'est par le contact avec la nature que les apprentissages peuvent s'ancrer. Nous avons besoin de développer un lien affectif avec la nature afin de mieux la comprendre, de s'en soucier et augmenter la motivation de passer à l'action. Elle offre aussi de développer une relation spirituelle et permettre de ralentir dans ce monde tellement rapide. Elle a donc des effets positif sur la santé mentale et physique. Le livre L'éducation relative à l'environnement école et communauté: une dynamique constructive de Sauvé, Lucie (2005) est très inspirant pour les applications possibles en classe du primaire.

 

Mon deuxième contact avec la pédagogie expérientielle

Ce fut à l'automne 2018, avec le cours Approche expérientielle, projets pédagogiques et ressources du milieu (DDM4101) où j'ai pu le vivre comme apprenant et réfléchir aux pistes d'application possibles en classe avec les cercles d'auteurs. Ce fût une expérience vraiment enrichissante comme apprenant et comme future enseignante. Les apprentissages que j'ai fait sont profonds et positifs. Je pense que c'est le point important dans cette approche: faire vivre des expérience positives afin d'augmenter la motivation des apprenants et d'ancrer leurs apprentissages.